La Grande boucle prend un coup de jeune. Quelques heures avant l'arrivée des seniors, des cyclistes gardois en herbe se prêteront à une course de quelques kilomètres, avec un sprint final sur l'avenue Jean-Jaurès. Comme les grands. Ces jeunes licenciés des clubs locaux auront surtout l'occasion de plonger dans l'atmosphère du Tour. Une expérience qu'ils n'avaient pas connue il y a quatre ans.
Au cours du précédent passage de la Grande Boucle à Nîmes en 2004, les petits cycliste n'avaient pas pu goûter à la joie de l'événement. La municipalité et les organisateurs du Tour n'avaient proposé aucune manifestation sportive auprès des jeunes, déclenchant le mécontentement des clubs de vélo nîmois.
A l'époque, le président de l'Espoir cycliste nîmois Jean-Louis Santader confiait dans les colonnes de Midi Libre : « C'est dommage pour les gamins. Si on ne les fait pas participer à un tel événement, à quoi sert le travail des bénévoles qui, à longueur d'année, mettent tout en oeuvre pour transmettre leur passion du vélo aux plus jeunes. » Depuis, la donne a changé. L'ASO (Amaury sport organisation), organisateur d'événements sportifs, a commencé en 2007 à orchestrer l'opération A chacun son tour, qui consiste à mettre chaque année en place dans certaines villes-étapes plusieurs événements sportifs regroupant des adhérents de clubs locaux. Dans le sillage du Cycloparc, aménagé à Nîmes les 4 et 5 avril derniers et au cours duquel ont eu lieu de nombreuses animations et compétitions, se tient aujourd'hui la P'tite Boucle Nesquik, une course qui aligne la vingtaine de vainqueurs du Cycloparc sur les derniers kilomètres du parcours officiel. Les premiers arrivés pourront participer à la finale sur les Champs-Elysées le 27 juillet. Demain, les réjouissances comprendront également la remise des Casques d'or.
Des animations pour les jeunes cyclistes du département qui réjouissent Robert Ranc, le président de l'Amical vélo club nîmois: « C'est beaucoup mieux qu'il y a 4 ans. Les événements sont bien préparés. De plus, comme le cyclisme n'est pas présent dans les écoles, cela offre une belle vitrine promotionnelle auprès des jeunes. » Même son de cloche du côté de la mairie de Nîmes, l'adjoint aux sports, Pascal Gourdel, est enchanté des événements qui suivent la roue d'un Tour de France « très millimétré au niveau de l'organisation et qui laisse peu de place pour les à-côtés ».
Au cours du précédent passage de la Grande Boucle à Nîmes en 2004, les petits cycliste n'avaient pas pu goûter à la joie de l'événement. La municipalité et les organisateurs du Tour n'avaient proposé aucune manifestation sportive auprès des jeunes, déclenchant le mécontentement des clubs de vélo nîmois.
A l'époque, le président de l'Espoir cycliste nîmois Jean-Louis Santader confiait dans les colonnes de Midi Libre : « C'est dommage pour les gamins. Si on ne les fait pas participer à un tel événement, à quoi sert le travail des bénévoles qui, à longueur d'année, mettent tout en oeuvre pour transmettre leur passion du vélo aux plus jeunes. » Depuis, la donne a changé. L'ASO (Amaury sport organisation), organisateur d'événements sportifs, a commencé en 2007 à orchestrer l'opération A chacun son tour, qui consiste à mettre chaque année en place dans certaines villes-étapes plusieurs événements sportifs regroupant des adhérents de clubs locaux. Dans le sillage du Cycloparc, aménagé à Nîmes les 4 et 5 avril derniers et au cours duquel ont eu lieu de nombreuses animations et compétitions, se tient aujourd'hui la P'tite Boucle Nesquik, une course qui aligne la vingtaine de vainqueurs du Cycloparc sur les derniers kilomètres du parcours officiel. Les premiers arrivés pourront participer à la finale sur les Champs-Elysées le 27 juillet. Demain, les réjouissances comprendront également la remise des Casques d'or.
Des animations pour les jeunes cyclistes du département qui réjouissent Robert Ranc, le président de l'Amical vélo club nîmois: « C'est beaucoup mieux qu'il y a 4 ans. Les événements sont bien préparés. De plus, comme le cyclisme n'est pas présent dans les écoles, cela offre une belle vitrine promotionnelle auprès des jeunes. » Même son de cloche du côté de la mairie de Nîmes, l'adjoint aux sports, Pascal Gourdel, est enchanté des événements qui suivent la roue d'un Tour de France « très millimétré au niveau de l'organisation et qui laisse peu de place pour les à-côtés ».
Publié le 18 juillet 2008 dans le Midi Libre, édition de Nîmes.
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